La fille qui rêvait d'un bidon d'essence et d'une allumette
"La fille qui rêvait d'un bidon d'essence et d'une allumette | MILLLENIUM 2" de Stieg Larsson. La suite des aventures (interminables) de Mickaël Blomkvist. Toujours le même cadre : la Suède, Stockholm, le journal "Milllénium", etc,... mais il est cette fois question de traite des blanches organisée avec la complicité de hauts fonctionnaires du pays, histoire dans laquelle Lisbeth Salander la hackeuse-gothique-super-intelligente joue un rôle central. Bref une affaire d'état comme semble le proclamer l'auteur, même si on a du mal à le suivre tant tout ceci paraît peu crédible.
Après un prologue alléchant, le bouquin qui, apparemment, vise la haute qualité intellectuelle nous assène un certain nombre de considérations assez prétentieuses et alambiquées sur les maths, les équations, sans oublier... le grand théorème de Fermat dont la hackeuse-gothique-super-intelligente serait en passe, après quelques moments de réflexion, de produire une démonstration autrement plus simple que celle sur laquelle s'est échinée Andrew Wiles pendant plus de 10 ans de sa vie.
Bref, l'intrigue est épaisse comme une feuille de papier à cigarettes, le scénario truffé de clichés et d'invraisemblances abracadabrantesques (ah,... le malabar grand, blond et indestructible !), et le rythme, entre descriptions, explications, interprétations, contre-interprétations, commentaires, re-formulations, etc,.. tout au long de la progression de l'enquête, d'une lenteur exaspérante
Le pire est que ça ne s'achève vraiment pas sur une fin claire : après 653 pages, on finit par s'échouer lamentablement pas très loin du point de départ. Des choses ont été laissées en plan dans l'attente du dernier volet de la trilogie, que très probablement je n'aurai ni le courage ni la patience de lire.
Après un prologue alléchant, le bouquin qui, apparemment, vise la haute qualité intellectuelle nous assène un certain nombre de considérations assez prétentieuses et alambiquées sur les maths, les équations, sans oublier... le grand théorème de Fermat dont la hackeuse-gothique-super-intelligente serait en passe, après quelques moments de réflexion, de produire une démonstration autrement plus simple que celle sur laquelle s'est échinée Andrew Wiles pendant plus de 10 ans de sa vie.
Bref, l'intrigue est épaisse comme une feuille de papier à cigarettes, le scénario truffé de clichés et d'invraisemblances abracadabrantesques (ah,... le malabar grand, blond et indestructible !), et le rythme, entre descriptions, explications, interprétations, contre-interprétations, commentaires, re-formulations, etc,.. tout au long de la progression de l'enquête, d'une lenteur exaspérante
Le pire est que ça ne s'achève vraiment pas sur une fin claire : après 653 pages, on finit par s'échouer lamentablement pas très loin du point de départ. Des choses ont été laissées en plan dans l'attente du dernier volet de la trilogie, que très probablement je n'aurai ni le courage ni la patience de lire.